Ils ont travaillé fort sur ces éditions, les voici! Ils se sont améliorés depuis le début de l’année, des textes plus longs, mieux rédigés. WOW de vrais journalistes!
(liens de téléchargement sous chaque image défilante)
Ils ont travaillé fort sur ces éditions, les voici! Ils se sont améliorés depuis le début de l’année, des textes plus longs, mieux rédigés. WOW de vrais journalistes!
(liens de téléchargement sous chaque image défilante)
Voici la plus récente édition du journal de notre groupe. Mes journalistes sont à jour, c’est moi qui peine à les suivre. Mais peu importe, vous serez encore une fois épatés par leur talent. Merci à toute l’équipe!
Oui! Notre édition de décembre sort tout juste avant Noël pour vous apporter des suggestions de divertissement, de l’information et de superbes voeux pour le long congé et la nouvelle année.
Les sujets sont riches et diversifiés. les gens rencontrés sont intéressants. Nos journalistes et correcteurs sont en apprentissage, si vous voyez des erreurs factuelles ou orthographiques, vous pouvez nous en faire part de façon constructive, nous adorons apprendre. Sinon un commentaire appréciatif est vraiment bienvenu!
À tous, des voeux d’amour et de paix pour cette nouvelle année qui commence bientôt!
Nouvelle année, nouvelle gang (avec de très nombreux anciens et de super nouveaux journalistes) et un nouveau graphiste, Adam, qui fait partie de nos journalistes, et qui s’est offert pour prendre à la levée la place de notre graphiste professionnelle qui a dû laisser tomber notre projet. Nous apprenions la triste nouvelle début novembre, nous avions à sortir le journal pour novembre, et il a relevé le défi en nous présentant la version finale en cette dernière journée du mois. Défi relevé avec brio!!!
Cette année, le journal change de nom, parce qu’on repart avec une nouvelle équipe et qu’elle souhaite un journal à son image. Le logo a été imaginé par Louana et «logotisé» par notre graphiste comme cadeau d’adieu. Nous avons aussi une belle bande de «stagiaires», de jeunes journalistes de 5e année qui ont des tâches réduites au sein du journal mais qui écrivent des textes comme de vrais journalistes et qui sont d’ailleurs excellents.
Je suis très fière de cette première édition. Bonne lecture!
Oui, on rattrape le retard en mettant les bouchées doubles!
Bravo à notre graphiste qui fait, comme toujours, un travail professionnel! (c’est évident, elle est une professionnelle, allez visiter sa page Varan.ca )
Vos commentaires sont super appréciés. Vous verrez comment nos journalistes s’améliorent d’édition en édition.
Dévorez l’entrevue (fictive) avec Max Parrot, qui a rempli le Canada de fierté cette dernière semaine avec sa médaille d’or aux Jeux Olympiques!
Bonne lecture!
Parfois la vie nous lance des défis et c’est dans notre réaction à ceux-ci que nous montrons notre vraie nature. Cette édition du journal, édition de novembre, s’est fait attendre. Des circonstances difficiles hors de notre contrôle sont venues retarder sa parution. Les journalistes ont été très patients et ont continué de travailler très fort sur les éditions suivantes. Je les en remercie. Parce qu’une équipe, c’est ça, se retrousser les manches pour continuer d’avancer, de garder et donner espoir que les choses se rétabliront assez pour aller de l’avant.
Voici donc sans plus tarder l’édition de novembre du Daily Bagel, bravo à nos grands journalistes!
P.S. svp soyez indulgents pour les thèmes qui sont décalés par cette édition tardive. Merci
P.S.2 J’en suis à la correction de deux éditions plus loin, ils s’améliorent à chaque édition ces journalistes en herbe, je suis fière de leur cheminement.
Voilà l’occasion de lire notre deuxième édition du journal mensuel.
Riche, encore une fois, d’une multitude de textes variés qui permettent à nos jeunes de s’exprimer sur des sujets qui les touchent.
Aujourd’hui avait lieu notre rencontre préparatoire à l’édition 3. Leur chimie m’impressionne, leurs remarques m’amusent. Je passe cette heure et demie en très bonne compagnie. Et j’ai toujours hâte de lire leurs textes lorsqu’ils présentent leurs sujets en rencontre d’équipe.
Bonne lecture!
Septembre est déjà loin, mais la première édition du journal The Daily Bagel sort à l’instant du bureau de notre graphiste extraordinaire.
Je suis estomaquée par la qualité des textes de nos journalistes. Et que dire de cette mise en page professionnelle juste pour nous (Varan.ca)…
Ils sont en charge du processus du début à la fin. Le rédacteur en chef du mois dirige la réunion d’équipe, les jeunes donnent leur sujet. Par la suite, ils doivent écrire leur texte avant la date de tombée, ils sont très ponctuels croyez-moi! Les correcteurs se mettent enfin à l’oeuvre pour passer à la loupe ces textes et, après un dernier petit regard, les textes sont envoyés à la graphiste qui nous rend le produit fini. Toute cette gestion est faite par le rédacteur en chef du mois.
Il y a eu un vote pour le nom. De très bonnes idées étaient sorties: La plume, L’étoile-maison, le Psst, on lit! et de nombreuses autres ont donné naissance au journal The Daily Bagel. Il y a eu un vote pour le logo, et ce fut un logo tout simple mais si expressif qui a remporté, il est à l’image de nos jeunes, parfait dans sa simplicité. Les autres dessins, très originaux et tout aussi intéressants, seront insérés dans les différentes éditions du journal.
Je suis fière de ma gang, encore un autre super projet où les jeunes me prouvent à quel point ils sont capables de bien des choses si on leur en donne la possibilité.
Sans plus attendre, bonne lecture!
Le titre de janvier pour le groupe des Minilecteurs (club de lecture 4-8 ans, en ligne pour l’instant) était Lulu, Lila et la plume qui plane, de Madeleine Arcand et Marianne Vincent aux éditions Ulysse. Nous avons lu le livre qui fait voyager les deux petits enfants sur une plume à l’aide d’une formule magique répétée à chaque double page. Une double page montre deux photos et une courte description d’un des 10 pays visités. Le livre vient avec des autocollants repositionnables, les pages du livre étant très glacées.
J’ai préparé des feuilles avec un drapeau de chacun des pays en leur centre. J’ai mis la possibilité d’imprimer les drapeaux déjà coloriés ou blanc. Nous avons écrit les noms des pays en ligne ensemble. J’ai numérisé les autocollants repositionnables et je les ai envoyés aux parents. J’ai inventé des indices pour chacun des 60 autocollants. Nous devions coller au moins un autocollant de chacun des 10 pays pendant l’activité en ligne, mais les enfants étaient si réceptifs pendant la lecture qu’elle s’est prolongée. J’ai donc envoyé par courriel la liste des indices pour que les familles puissent faire l’activité à la maison. Elliot et moi avons passé en revue plusieurs mots de vocabulaire en écrivant les mots des images sous chacune d’elles.
Ici, Elliot n’avait pas beaucoup apprécié la lecture du livre. Mais il a adoré l’activité des Qui suis-je? (indices et autocollants).
Bon voyage!
Les lecteurs plus chevronnés se sont attaqués cette année aux quatre romans chiffrés de l’auteur Christian Poslaniec : Le 13e chat noir, Le 12e poisson rouge, La 11e souris verte, le 10e lapin blanc.
Pourquoi lecteurs chevronnés? Parce que le langage est tout de même moins accessible qu’un roman québécois. Les histoires sont assez simples à suivre, mais les noms des villes, des régions, des mets, etc. sont typiquement français et ne nous offrent aucun repère. Malgré tout, mes lecteurs y sont arrivés, et certains en ont même redemandé.
Ces 4 romans sont bâtis sur un même canevas: le personnage principal, Christie Spivac, auteur de renom, a à se rendre dans une région autre pour une raison X. Sur place, il y a un mystère qui vient pimenter sa visite. Il aime se mettre le nez partout et trouve des indices différents auxquels les policiers n’ont pas pensé. Finalement, il arrive toujours à résoudre le mystère et dévoile sa déduction dans l’avant-dernier chapitre. À la limite du policier et de l’aventure, les romans sont un bon divertissement, touchant à des thèmes comme la pêche et les contes classiques par la bande.
Le projet s’est déroulé en 2 rencontres. À la première rencontre, j’ai présenté l’auteur brièvement et j’ai donné quelques explications rapides sur comment étaient bâtis les romans. Le reste de la période s’est déroulé en jeux de société.
À gauche, les 4 romans et différents livres écrits par Christian Poslaniec. À droite, les jeux de société utilisés.
J’ai utilisé les jeux de société pour rappeler le fait de faire enquête de façon différente. Les jeunes devaient trouver dans les jeux de société les éléments des romans. Il y avait aussi quelques énigmes, dont celle de trouver un indice supplémentaire dans les titres des romans présentés.
Ils pouvaient consigner les indices des jeux de société sur les feuilles suivantes: consignation indices jeux1
Ici un début de corrigé pour voir le genre d’indices à noter: consignation indices jeux corrigé
Voici les photos des énigmes des titres qui pouvaient aussi donner des indices supplémentaires:
À quel titre chaque photo faisait-elle référence? À écrire sur la feuille de consignation des indices des titres: consignation titres
Entre nos deux rencontres, ils devaient lire un des quatre romans. Il y avait deux équipes de 4 jeunes. Donc dans chaque équipe, les quatre romans étaient lus. Pendant leur lecture, ils devaient remplir le canevas de base sur cette feuille: Recette de rédaction des histoires numérotées de Christian Poslaniec.
Lors de la 2e rencontre, les jeunes devaient mettre en commun leurs indices découverts en lien avec leur livre lu. Puis, en utilisant les éléments des jeux de société qui n’avaient pas été retrouvés dans les romans, ils devaient bâtir un canevas de base semblable pour une histoire du 9e quelque chose. Je ne voulais pas qu’ils écrivent une histoire complète; écrire un roman, ce n’est pas une mince tâche. Mais je voulais qu’ils inventent une histoire, en équipe toujours, en se fiant à leur canevas inventé.
Les voici en travail de création de leur histoire, qui a donné un résultat bien intéressant et très différent dans les deux équipes.
Exemple d’éléments qu’ils pouvaient utiliser tirés des jeux: VIVA TOPO a des souris et des chats et du fromage comme pions. Trois éléments déjà pris dans les livres. Il y a aussi des souris vertes, rouges, jaunes et bleues. Les couleurs rouge et vert sont déjà prises. Le chat est orangé. Ils pouvaient donc utiliser le jaune, le bleu ou l’orangé dans leur titre d’histoire inventée. Et ainsi de suite.
Nous avons eu Le 9e loup roux et La 9e grenouille bleue comme histoires inventées. Des histoires qui se tenaient, et qui utilisaient la même touche d’enquête que les romans de base.
Une activité qui a semblé intéresser les jeunes. Pour ma part, j’ai aimé que la formule diffère des années précédentes.