Le marché de Noël

p1060871Ma fille a participé au marché de Noël de notre groupe de soutien d’école maison. Elle y a vendu ses cartes de Noël dessinées à la main, imprimées en plusieurs exemplaires puis taillées selon le modèle.

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Six modèles sont disponibles: Père Noël, Mère Noël, le manchot, l’ours polaire, le renne et le bonhomme de neige. Elle en a vendu beaucoup, mais il lui en reste quelques unes. Elles sont 3$ à l’unité et 15$ pour l’ensemble de 6 différentes. Si vous voulez lui passer une commande, faites-moi signe. Le nom de la collection est Les GRONEZ.

Mes petits étaient bien préparés à cette soirée. Maman leur avait dessiné chacun un petit renne sur la joue. J’ai aussi fait quelques maquillages pendant la soirée question d’occuper les jeunes qui ne faisaient qu’accompagner.

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Toute la soirée nous avons pu nous sucrer le bec des préparations d’autres familles. Elles étaient toutes meilleures les unes que les autres. Des superbes décorations ont été réalisées aussi. Vraiment c’est un endroit qui vaut le détour. On vous y verra en novembre 2017?

D’ailleurs sur le chemin du retour, les idées fusaient déjà pour l’an prochain. Tous mes enfants veulent s’impliquer, chacun à sa façon. C’est donc un rendez-vous 🙂

 

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Compter avec les souris

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Je travaille avec un garçon de maternelle en privé chaque semaine. Nous lisons des livres ensemble et en faisons des activités. Je lui ai apporté le livre 1,2,3 souris (de Ellen Stoll Walsh), dans lequel un serpent essaie de mettre 10 souris dans un bocal et se fait finalement rouler par les souris qui se sauvent, le laissant affamé. Cet album travaille le dénombrement de 1 à 10, sans reconnaissance visuelle des chiffres. Nous avons colorié le serpent selon une alternance régulière des couleurs comme dans les illustrations. J’ai utilisé ce serpent, mais comme il tourne, ce fut un peu difficile de faire l’alternance. Si c’était à recommencer, j’utiliserais plus celui-ci.  Puis nous avons fabriqué 10 petites souris en papier déchiré. Les queues ont été découpées en suivant aux ciseaux des lignes droites. J’ai numéroté les souris et les queues des nombres de 1 à 10, et il a dû les assembler. Enfin avec deux dés et 20 jetons de deux couleurs différentes, nous avons joué à attraper les souris. Il faut  lancer les dés et placer un jeton de notre couleur sur la souris du même nombre que la somme des dés. Lorsque les dés donnent 11, un jeton est mis sur le 1 et lorsque les dés donnent 12, on peut mettre un jeton sur n’importe quelle souris. Le premier qui attrape de ses jetons toutes les souris gagne la partie.

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La prochaine lecture a travaillé plus le tracé des chiffres. Les chiffres (de Monique Félix) montre 10 petites souris apparaissant une après l’autre du trou du chiffre grignoté par la souris précédente. Il est possible de dénombrer et de reconnaître visuellement les chiffres. De plus on peut tracer du doigt les chiffres, car ils sont d’une bonne grosseur pour ça. Comme les souris grignotent et grignotent le papier pour faire leur chiffre, et qu’elles sont de plus en plus nombreuses, le papier devient assez mince pour que quelque chose le traverse et fasse fuir les souris, créant un effet de surprise aux enfants.

Enfin un petit travail de dénombrement et de traçage des nombres. Pour les nombres dont il ne connaissait pas le tracé, j’ai fait la forme en surligneur jaune et il a écrit par-dessus.

Nous avons travaillé sur ce thème 6 rencontres de 20 minutes. Nous avons touché pas mal de sphères de développement. Nous avons aussi eu beaucoup de plaisir.

Dans l’univers des Trois p’tits jambons

J’ai accroché à ce titre, peu flatteur et un brin baveux. J’ai lu le livre, peu flatteur et un brin baveux.

J’ai souri tout au long de ma lecture. On s’amuse ferme à imaginer la scène, les faces de surprise des personnages, les faux décors de carton. Certains aspects sont à la limite du «politically correct». J’aime ça. Parfois on en a marre du pesé et du poli.

Les Trois p’tits jambons est un mini-roman de Daniel Laverdure. Facile à lire, il s’adresse tout de même à un public cible de 3e cycle. Le ton baveux demande de savoir faire la part des choses. La psychologie derrière les interventions du personnage-lecteur est assez inférée, pas toujours livrée évidente. Mais bon on peut lire au deuxième cycle et apprécier.

Le personnage principal, un garçon de 10 ans, entre dans l’histoire des trois petits cochons et en change le cours en intervenant auprès des cochons et du loup pour que les uns soient moins niaiseux et que l’autre soit moins gourmand. L’auteur exploite à outrance la reprise de l’information. Et c’est une grande part de son humour qui y passe. Tous les termes nécessaires à nommer des cochons: pourceau, porcelet, gorets,… Tous les termes soulignant leur naïveté: imbéciles, andouille, zigotos,… Une belle activité de réchauffement littéraire. Je commence par expliquer ce qu’est une reprise de l’information. Je précise que l’on ne se penchera pas sur l’utilisation de pronoms, mais bien de groupes du nom. Je donne l’exemple des mots utilisés pour parler du loup, puis je leur donne un bon temps, en équipe, à chercher les reprises pour nommer les cochons ensemble et les nommer séparément. Voici la feuille préparée. Et le corrigé.

Question de se dégourdir les jambes, nous nous sommes levés, avons poussé notre chaise. Lorsque je nommais un mot de vocabulaire synonyme du mot cochon, les enfants devaient faire un «jumping jack». Lorsque le mot n’était pas un synonyme de cochon, ils ne faisaient rien.

Une petite partie de Cadavre exquis a suivi. Le Cadavre exquis se joue avec chacun une feuille mobile devant soi. Ils écrivent tous  le nom d’un personnage de conte. Puis ils plient le haut de la feuille de façon à cacher le nom écrit. Ils passent la feuille au voisin. Celui-ci sans ouvrir le rabat, écrit le verbe «porte».  Protestations! «On écrit tous la même chose, ça ne fera pas différent!» «Oui mais on peut porter des vêtements, des objets, des sentiments…» Ensuite on replie et on passe au voisin. Ce dernier doit écrire ce qui est porté, plier la feuille et passer de nouveau. Tous écrivent une couleur et le mot «et». On plie la feuille et passe encore. Ensuite, c’est le temps d’écrire un autre verbe. (ici j’ai manqué de précision, j’aurais dû dire un verbe à la 3e pers. du sing. au présent) On plie, on passe une dernière fois. On écrit un adverbe et on ramène la feuille à moi. J’ai lu les phrases ainsi créées devant tout le monde et on s’est bien marré. En voici quelques exemples, dans les plus savoureux.

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À la fin de notre première rencontre de 3 heures, j’ai expliqué le projet. Nous avons fait la liste au tableau des principaux contes connus. Toujours en équipe, les enfants devaient choisir un conte et le modifier en faisant intervenir chacun des membres de l’équipe à un moment ou à un autre de l’aventure. La première étape etait de choisir le conte. Cette étape a été difficile pour certaines équipes qui semblaient avoir trop de choix ou des choix incompatibles. Un équipe s’est scindée, une autre a vacillé. Et finalement toutes ont trouvé un conte à exploiter. Puis ils devaient commencer à dresser la liste des étapes du conte. Je n’ai pas abordé le schéma narratif en détail puisqu’il y avait des enfants de la 3e année à la 6e année. En 3e année, on se contente de dire que le conte a un début, un milieu et une fin. Mais en 6e, le schéma est plus précis. J’ai donc parlé d’étapes du récit. Faire la liste des étapes était à finir en devoir.

À la deuxième rencontre de 3 heures, ils ont mis en commun les étapes de l’histoire et  devaient choisir les étapes qu’ils voulaient modifier par leurs interventions. ils devaient aussi décider si cela changeait la fin ou non. J’ai remarqué à quel point les 3e année et les 6e année sortaient de deux mondes différents. Alors que les petits ont gardé une structure plus fidèle au conte d’origine et n’ont modifié que quelques parties, les équipes plus vieilles ont été jusqu’à mélanger deux contes totalement.

Le projet final sera présenté lors d’une troisième rencontre. En attendant, les enfants se sont séparé la tâche d’écrire leur bout de l’histoire. Je leur ai rappelé d’utiliser la reprise de l’information pour varier la façon de nommer le personnage. Je leur ai rappelé à quel point la spontanéité et l’imagination permettaient qu’une histoire riche se développe. Comme dernière étape, ils ont choisi la façon dont ils présenteront le fruit de leur travail au reste du groupe. Toutes les options de présentation étaient ouvertes.

Ce sera un beau show de variété.

À l’horaire le 6 décembre.

 

 

 

 

En préparation du calendrier de l’Avent…

…tout en lecture encore cette année.

Évidemment, je ne rachète pas encore 24 nouveaux livres. J’enveloppe des classiques ou des coups de coeur qui reviennent d’une année à l’autre. Mais j’ajoute chaque année des nouveautés, comment s’empêcher de dépenser pour de superbes albums de Noël?

Donc mes achats de cette année sont:

  • l’album grand format de Thierry Dedieu, dont les dessins sont doux et raffinés et le message d’amour infiniment grand, À la recherche du Père Noël.
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  • l’album d’Antoine Guiloppé, Noël pour tous, dont les dessins en noir et blanc créent des effets surprenants en ces temps de cadeaux multicolores et brillants.
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  • l’Abécédaire du père Noël de Jean Chapdelaine Gagnon (illustrations de Philippe Béha ❤ ) dont les textes sont riches en mots compexes à découvrir.
  • Le voeu magique, petit roman de la collection Le renne magique de Sue Bentley, facile et léger juste pour la magie de l’amitié.
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  • Un garçon nommé Noël, de Matt Haig, parce qu’il faut croire en l’impossible et offrir de la lecture plus soutenue pour le congé des fêtes.

Déjà complètement baba des lectures que nous en feront. 10 jours à attendre.

Un petit coucou de notre exploration de l’Europe

Nous sommes en pleine construction de notre casse-tête de la ville de Paris. Le fond du casse-tête, la partie casse-tête traditionnel, est une vieille carte de la ville de Paris en 1736. Puis par-dessus, se construit en morceaux-mousse, la ville d’aujourd’hui. Enfin nous ajoutons des pièces de plastique représentant les monuments de Paris.

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Allez on se lance!   Ça avance lentement.  Mais on va y arriver! Si les sorties peuvent se raréfier…

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Nous avons mangé des chocolatines (petits pains au chocolat) et des croissants pour notre repas français, des pâtes fraîches à la carbonara pour notre repas italien et enfin un Koulibiak pour notre repas russe.  Voici les photos de cette recette de poisson en croûte.

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Les repas européens n’ont pas grand chose à nous surprendre. Nous cuisinons déjà beaucoup de tels repas (lapin aux pruneaux, boudins aux pommes, saucisses allemandes…) On pourrait sûrement pousser un peu plus loin, mais il faut aussi respecter le budget serré.

On a écouté une émission sur la Tour Eiffel et lu des livres sur le sujet.

Là on est prêt pour le passage en Amérique du Sud.

 

Préparation à l’examen de français 4e sec aux adultes

Pour avoir vu un test de pratique que ma fille a fait pour sa préparation à l’examen de français de 4e secondaire à la formation générale aux adultes, voici un document préparatoire intéressant et qui semble assez complet pour réviser encore plus en profondeur le contenu de cet examen.

Cliquer pour accéder à 201106141117060.FRA4061_TEXTE_INFORMATIF.pdf

Une pratique de 115 pages! À vos crayons!

Anglais pour le diplôme : check

Oui! Ma fille a passé son examen avec une belle note compte tenu qu’elle a obtenu ses unités de 5e secondaire sans même avoir fait le cours de 5e secondaire. Et par déboulement, ses unités de 4e secondaire sont accumulées aussi.

Nous avons trinqué (au moût de pommes pétillant) ce soir!

Elle s’inquiétait de ne pas pouvoir continuer nos cours d’anglais en groupe parce qu’elle avait toutes ses unités… Ben voyons! Bien sûr que tu fais l’année avec nous. (mais moi dans mon coeur, ouf, je vois que la fin approche…)

De toute façon, comme unités optionnelles, elle va choisir entre autres anglais enrichi. Ce sera utile et agréable pour elle, et probablement assez facile à réussir.

Je suis fière de sa réussite, même si je le savais qu’elle en serait capable. J’avais peur de l’inconnu Troubles anxieux dans le portrait. Mais ça fait aussi du bien de voir les unités entrer au bulletin. WOW tant de travail enfin récompensé pour elle (elle est très persévérante, sérieuse et studieuse) et tant d’effort enfin un peu reconnu pour moi aussi. Surtout en anglais où je n’étais pas sûre de ce que je donnais vraiment comme formation puisque je monte le programme moi-même.

Pour celles que ça intéresse, voici la route suivie pour obtenir ces unités: au centre d’éducation aux adultes, il y a un examen d’anglais nommé Prior Learning Examination. Ce test de classement sert aussi à sanctionner les études. C’est-à-dire que le code du cours est celui de 5e secondaire. Alors si le test est réussi, les unités de 5e secondaire sont automatiquement obtenues (et donc celles de 4e secondaire par déboulement). Sinon, selon le niveau réussi sous le 60%, il est possible d’obtenir les unités de 4e ou un classement inférieur. Mais l’enseignante passe environ une trentaine de minutes avec l’étudiant préalablement au test. Elle vérifie oralement la capacité du jeune à passer un tel test.  Donc Lucie-Maud, qui serait normalement en 5e secondaire cette année, a passé son test et a réussi les objectifs de 5e secondaire de façon assez confortable. Voilà de nombreuses unités acquises sans cours aux adultes à suivre.

Elle a aussi obtenu ses unités de 4e secondaire en histoire il y a 2 semaines.  Aujourd’hui elle a passé la compréhension de lecture et d’écoute de 4e secondaire en français (3hres), la semaine prochaine la situation d’écriture (6hres). Nous avons voulu qu’elle passe son test de 5e secondaire en français, mais cela nous a été refusé (en fait je ne sais pas s’ils ont cette autorité de refuser, mais enfin…) disant qu’ils ne connaissaient pas suffisamment ses capacités (et ne voulant pas qu’elle se plante…) S’il pouvait exister un test de Prior Learning pour le français…

Pourquoi ça a été aussi long à attendre pour les tests? Ne jamais demander un code permanent en début d’année scolaire. Près de 8 semaines ont passé avant de l’obtenir. En général, cela peut prendre 4 semaines. Prévoir ce délai si votre enfant n’est pas encore fiché. Nous avions fait la demande au début juillet, mais un changement de CS de dernière minute pour obtenir un meilleur service a changé la donne. Le premier conseiller rencontré n’en a pas fait la demande en juillet tel que c’était supposé… Ça vous donne une idée de la nécessité du changement de CS. Pour Lucie, cela ralentit son processus.  Nous sommes rendus à la mi-novembre. Je ne sais pas si elle pourra tout faire avant juin… Mais en ayant sauté le cours d’anglais au complet, voie rapide ouverte pour le reste.

La naïveté et la générosité font perdre de l’argent

Je fais confiance aux gens. J’ai tendance à penser d’emblée que tout le monde il est beau, il est gentil…

Mais malheureusement certains profitent de cette naïveté.

Alors les autres sont privés de quelque chose pour une personne qui a mal agi.

Avec ma bibliothèque de l’école de rang, celle avec laquelle j’envoyais des colis il y a un an, j’étais généralement prudente. Une des règles que j’avais était d’envoyer un seul document pour le premier envoi. Lorsque celui-ci était retourné et les frais de poste payés, je pouvais désormais faire confiance totalement et poster jusqu’à deux boîtes de documents par adresse en même temps.

En septembre 2015, j’ai eu une nouvelle abonnée qui avait besoin de documents. J’ai fait confiance et j’ai négligé cette règle de base du premier document. J’ai posté deux boîtes pleines à des frais de poste très élevés. Il faut savoir que je paie les frais de poste à l’envoi et que les abonnés me remboursent en mettant les sous dans la boîte lors du retour des documents.

J’ai dû envoyer plusieurs messages pour que le colis revienne. Il faut savoir que le prêt était d’un mois, la date de retour étant inscrite sur la lettre d’accompagnement. Il a fini par revenir avec plus d’un an de retard. Il faut savoir encore que je ne charge pas de frais de retard (je suis une bonne pâte, je comprends qu’un paquet de choses peuvent arriver).  Là cependant, il manquait trois documents dans les boîtes et parmi ceux retournés, quatre au moins avaient été écrits dedans. Aucun paiement n’était inclus, ni pour les frais de poste, ni pour les dommages faits aux documents comme il avait été convenu.

J’ai opéré la bibliothèque pendant plus de dix ans. En dix ans il y avait eu un colis perdu par Postes Canada et un seul petit livre jamais retourné. En dix ans, faire confiance m’avait porté chance. Là, ma dernière abonnée, car il faut savoir que le service postal de la bibliothèque a fermé en octobre 2015, est celle qui m’a privée d’un montant substantiel. Je garde donc un goût amer, une fois le service fermé. On ne pourra pas dire que cela se termine sur une bonne note.

Cela me désole aussi parce que ma bibliothèque est un organisme à but non lucratif. Que les documents sont payés de ma poche pour utilisation par mes enfants et partagés au public d’école-maison par simple bonheur de partager.

Si cette personne se reconnaît, si vous reconnaissez cette personne, svp dites-lui de retourner les documents et de payer son dû. Question que je retrouve enfin ma naïveté. Merci.

Un samedi matin calme après une semaine occupée

Une semaine à courir de sorties en activités, de rendez-vous en travail.

Quand pour la 5e journée de la semaine, on doit se lever tôt. Que le corps ne veut pas, mais que pour les enfants il doit. Alors une scène douce, où la grande lit une belle histoire au petit attentif, survient, on la croque sur le vif après l’avoir contemplée quelques minutes, le coeur tout gonflé d’amour.

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Le nez qui pique

En préparation du prochain club nature sur le monde des épices (enfin de quelques épices et non-épices présentées dans le livre La soupe aux épices de Gaëlle Perret), j’ai le nez qui pique, les joues qui frisent.

J’ai mis en pot la poudre de 12 substances odiférantes. Je crois que mon cerveau ne sait plus trop quel signal olfacif saisir.

Un dodo s’impose, question de reposer ce sens.

Je reviens vous parler de l’activité bientôt. L’activité a lieu vendredi.